fbpx → Passer directement au contenu principal
The Pan African Music Magazine
©2024 PAM Magazine - Design par Trafik - Site par Moonshine - Tous droits réservés. IDOL MEDIA, une division du groupe IDOL.
Le lien a été copié
Le lien n'a pas pu être copié.

Auntie Flo nous fait voyager au rythme de ses rencontres avec Radio Highlife

Sorti sur le label Brownswood le 12 octobre dernier, le nouvel album du DJ et producteur Auntie Flo est comme un carnet de route de sa carrière.

Né à Glasgow, basé à Londres, Auntie Flo (aussi connu sous le nom Brian d’Souza) a toujours envisagé sa musique à travers les collaborations et échanges qui découlent de ces voyages. Radio Highlife est comme un aboutissement dans cette démarche : un kaléidoscope de rencontres, d’échanges et d’idées assemblés dans un long travail de synthèse.

L’un des points de départ de l’album fut cette visite à Cuba en 2014 alors qu’il est invité à jouer à l’inauguration du Havana World Music Festival. Auntie Flo en profite pour inviter en session plusieurs musiciens cubains, parmi lesquels Yissy Garcia, une jeune percussionniste que l’on retrouve sur le morceau « Havana Rhythm Dance », un morceau soyeux, qui monte lentement, morceau sur lequel on retrouve la voix d’Andrew Ashong qu’il croisa à Londres quelques jours avant que l’album d’Auntie Flo ne soit finalisé. 

Sept ans de voyage intense, de rencontres inattendues, sont donc rassemblées dans ces 14 morceaux forgés à partir de field recordings, de sessions studio réalisées un peu partout, depuis Cuba jusqu’à Cape Town, de Bali à Kampala, augmentées de voix enregistrées en Russie, à Istanbul, au Sénégal ou en Grande-Bretagne ; le tout fusionné avec talent dans un grand mélange original.

Avec Radio HighlifeAuntie Flo a mis sur pied son album le plus ambitieux à date. Un disque variée qui traverse les frontières qui cherche résolument à connecter les gens au-delà du genre musical dans lequel il s’inscrit.

Lire ensuite : Découvrez l’afro-post-punk politique de Farai

Chargement
Confirmé
Chargement
Confirmé